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Hygiène intime et maux intime : est-ce toujours lié ?

Hygiène intime et maux intimes sont souvent liés mais il existe d'autres raisons qui peuvent causer ces maux. Dès les premiers instants de sa vie, l’appareil génital d’une petite fille nécessite une attention particulière. Femme en devenir, ses organes génitaux continueront d’évoluer jusqu’à atteindre une maturité sexuelle. De la puberté jusqu’à sa ménopause, la femme traversera des phénomènes physiologiques qui oscillent entre hausse et chute d’hormones. Ces fluctuations hormonales s’accompagnent de troubles, de douleurs dans le bas-ventre, qui peuvent être bénins ou aigus allant jusqu'à affecter directement son système reproducteur. Vous découvrirez ici les causes de ces maux et en quoi une hygiène intime adaptée peut aider ou faire empirer ces maux.
Secrets de femme : hygiène intime et maux intimes
Plaintes gynécologiques : comment les différencier ?
Des signes et des pathologies
Au moins 3 femmes sur 4 sont sujettes, au cours de leur vie, à des infections gynécologiques gênantes sans gravité. Nous allons faire un listing pour apprendre à les reconnaître.
Les pertes vaginales sont des sécrétions normales qui traduisent la bonne diffusion hormonale des oestrogènes. Elles servent à protéger et nettoyer naturellement le vagin. Dans l'ensemble, elles permettent de réguler et équilibrer la flore vaginale en expulsant les impuretés. Ces pertes sont plus épaisses et abondantes avant les règles et lors d’un début de grossesse. Cependant, lorsqu'elles deviennent odorantes et prennent un aspect différent, comme un changement de couleurs, il vaut mieux consulter car des démangeaisons plus ou moins violentes vont apparaître au niveau de la vulve et du vagin. Le prurit peut être un signe de mycose vaginale provoqué par un champignon, le candida albicans.
De même, les oestrogènes sont mises en cause car en fin de cycle juste avant les règles, le glycogène est produit sous l’effet de ces hormones. C’est un sucre contenu dans le vagin qui favorise la multiplication de ces champignons. Les traitements antibiotiques et à base de cortisone peuvent provoquer un déséquilibre de la flore vaginale et déclencher aussi des mycoses.
Les autres facteurs
Aussi, d’autres facteurs sont aussi en cause comme :
  • Le port de vêtements serrés ;
  • Une hygiène intime excessive et trop fréquente ;
  • Un nettoyant pour votre hygiène intime trop agressif ;
  • Le stress ;
  • Un contraceptif ;
  • Une maladie sexuellement transmissible ;
  • Une baisse d’immunité due à certaines maladies etc.
Pour y mettre un terme, un antifongique et des probiotiques à base de lactobacilles seront nécessaires.
La cystite est le deuxième motif de consultation avec prescription d’antibiotiques. C’est une infection urinaire relativement bénigne mais pouvant s’accompagner de fièvres et de douleurs, témoins de la gravité de l’infection. En effet, la cystite se situe au niveau de la vessie et est due dans 90% des cas à la prolifération de bactéries intestinales qui ont migré vers le vagin. Elle se caractérise par une envie fréquente d’uriner, même quelques gouttes, avec une sensation de brûlure lors de la miction. Les urines peuvent s'accompagner de sang, hématurie, être troubles et malodorantes.
La bartholinite apparaît au niveau des petites lèvres lorsque la glande de Bartholin se bouche. D’origine infectieuse, l’abcès est très douloureux et peut s’accompagner de rougeurs. Un traitement médicamenteux sera suffisant la plupart du temps. Il peut parfois arriver qu’une intervention chirurgicale soit nécessaire.
La vulvite est une inflammation de la vulve liée à une irritation ou une infection bactérienne. Elle se manifeste par des gonflements, des démangeaisons, des rougeurs et des douleurs.
Il peut aussi s’agir d’une maladie dermatologique ou d'un excès d’ hygiène intime. En fonction du germe en cause, un traitement antibiotique pourra rééquilibrer la flore intime.
Des saignements anormaux pendant et en dehors des règles
C’est à l’adolescence que le cycle menstruel se met en place avec l’apparition des premières règles. Ce phénomène cyclique débute lors du premier jour de l’apparition des règles et dure en moyenne 28 jours. Il va nécessiter d'adapter sa routine de soins car l'hygiène intime est bouleversée (sang, mauvaises odeurs etc).
Il arrive que l’on perde trop de sang et/ou que les règles soient prolongées : c’est la ménorragie. Pour s’en rendre compte, il suffit de détecter ces signes qui ne trompent pas comme changer trop souvent de protection hygiénique, de vêtements ou de draps. Ces règles abondantes avec des caillots sont parfois accompagnées de douleurs abdominales qui altèrent la vie des femmes qui en souffrent. Parfois, il arrive qu’une anémie résulte des ménorragies.
Le plus souvent, avoir des saignements en dehors de ses règles sont sans gravité. On les appelle des métrorragies ou spotting. En effet, les saignements peuvent être plus ou moins abondants mais s'ils s'accompagnent d’autres symptômes, il vaut mieux s’assurer que tout va bien et consulter un gynécologue car cette situation est anormale. Tout d’abord, le médecin va s’assurer que ces pertes sanguines ne sont pas dues à une grossesse mal implantée car elle est potentiellement mortelle. Il arrive parfois que l’embryon soit hors de l’utérus. En dehors d’une grossesse, les causes de ces saignements intempestifs peuvent être la conséquence de troubles hormonaux ou être le signe d’une affection plus grave.
Douleurs abdominales et troubles intimes
Des maladies gynécologiques
Les douleurs pelviennes sont des douleurs qui se situent au niveau de l’abdomen.
Elles peuvent être un symptôme gynécologique pouvant toucher et affecter le système reproducteur d’une femme. Ces douleurs sont d’intensité variable et peuvent devenir des crampes douloureuses, survenant parfois par vagues. Souvent elles apparaissent lors des règles, ce sont des dysménorrhées. En outre, il s’agit alors d’un phénomène normal puisque ces contractions permettent l’expulsion des tissus de l’endomètre.
Attention toutefois car avoir mal au bas ventre peut être aussi un symptôme qui doit amener à consulter. En effet, si c’est fréquent, inhabituel ou intense et si votre hygiène intime se dégrade il peut s’agir de :
  • Kyste ovarien : d’ordinaire bénin, la tuméfaction contient du liquide et se trouve sur un ou deux ovaires. Cette situation est anormale si elle s’accompagne de douleurs chroniques ;
  • Torsion de l’ovaire : souvent associé à un kyste ovarien, la douleur est similaire à un coup de poignard car elle est intense, vive et peut s’accompagner de nausées. Il faudra alors opérer d’urgence ;
  • L’endométriose : maladie asymptomatique, inflammatoire et chronique, elle est causée par la présence de tissus de l’endomètre hors de l’utérus. Ces tissus ne sont pas expulsés et migrent dans les trompes, les ovaires, le vagin etc. Elle peut s’accompagner de douleurs et de saignements intenses. Il est important de pouvoir poser un diagnostic si on est atteint d’endométriose car une infertilité peut survenir.
Mieux vaut prévenir que guérir
Il est utile de pouvoir consulter un gynécologue au moins une fois par an afin d’avoir un suivi pour se rassurer et être sûre que tout va bien.
Plusieurs motifs peuvent nous pousser à consulter un gynécologue :
  • des douleurs, des saignements et des pertes anormales ;
  • un besoin de contraception ;
  • une grosseur anormale au sein ;
  • lors d’une grossesse ;
  • lors d’une infertilité ;
  • à la ménopause.
En fonction de la consultation, plusieurs types d’examens peuvent être réalisés comme :
  • un frottis cervical afin de prévenir du cancer du col de l’utérus et en particulier lorsque l’on devient active sexuellement pour détecter des maladies sexuellement transmissibles ;
  • un toucher vaginal pour ausculter par voie interne les organes pelvien vagin, col de l’utérus, utérus et ovaires ;
  • une échographie pelvienne afin de visualiser l’appareil génital interne ;
  • une palpation de la poitrine pour détecter une masse suspecte ;
  • un parcours de procréation médicalement assisté ;
  • lors de l’accouchement ou d’une césarienne si le gynécologue est aussi obstétricien.
Notre flore intime est précieuse, elle mérite une attention particulière et des soins délicats.
Il faut faire en sorte de trouver le bon équilibre pour ne pas négliger cette zone fragile car le b.a.ba d’une bonne santé intime dépend d'une attention particulière à son alimentation ainsi qu'à une hygiène intime régulière et efficace.
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